Mon boss, c’est le meilleur! – les grands gagnants de l’édition lavalloise de 2023

Daphnée Sicard, élève à l’école secondaire l’Odyssée-des-jeunes, au sujet de son employeur Frédérique Perez-Audy, responsable du secteur récréatif de Laval Excellence, un club de gymnastique à Laval :

« Elle est vraiment compréhensive, elle met à notre disposition une liste de remplaçants potentiels pour nous faciliter la vie, elle nous demande d’arriver de 15 à 30 minutes avant notre travail pour qu’on ne soit pas en retard et elle nous paie pendant ce temps. Elle est toujours là pour s’assurer qu’on a bien compris la planification de la semaine et qu’on est à l’aise avec cette dernière. Elle nous gâte lors de la semaine des coachs, à Noël, etc. grâce à de petites attentions vraiment appréciées. Elle organise des activités pour le personnel à quelques reprises durant l’année, etc. Bref, c’est le meilleur milieu de travail que j’ai eu à vie! »

Mathieu Roy, élève en formation professionnelle à l’École hôtelière et d’administration de Laval, au sujet de son employeur Éric St-Jean, propriétaire du salon de coiffure Arcanic à Sainte-Rose, Laval : 

« Éric St-Jean, c’est une personne avec un cœur gros comme le ciel, c’est un entrepreneur qui m’a pris sous son épaule pour me faire découvrir le métier de coiffeur. Nous sommes trois au studio, je suis son seul apprenti et Justine est son assistante. Il m’aide énormément à m’accomplir et a pour but ma réussite. Entre autres, nous prenons 1h chaque mercredi soir pour réviser la matière de la semaine et nous assurer que tout est bien compris. Il me donne également l’opportunité de faire ma place dans le métier en instaurant des services comme des massages capillaires pour me permettre d’être de plus en plus à l’aise avec la clientèle et pour me faire faire un peu plus de sous! Il est reconnaissant de ce que j’apporte au studio et me rappelle souvent à quel point j’ai un potentiel extraordinaire. C’est quelqu’un d’important dans ma vie, il n’est pas au courant que je l’inscris dans un concours mais je lui suis éternellement reconnaissant pour tout ce qu’il fait pour moi. Ma vie va clairement pour le mieux depuis que je l’ai rencontré. »

Alek Lanoie, étudiant au Collège Montmorency, au sujet de son employeur Guillaume Bouccara, directeur de Puissance et infrastructures critiques /électricité au sein de Bouthillette Parizeau, une firme de génie-conseil à Laval :

« Guillaume est un patron inspirant et attentif. Depuis mon début chez BPA, il a su faire grandir l’adulte en moi tant du côté personnel et professionnel. Cela fait seulement 1 an que je travaille avec lui et déjà, j’ai l’impression d’avoir appris tellement de choses. Il a su me soutenir et me guider quand j’ai eu des problèmes qui demandaient beaucoup de réflexion. Les maintes sessions de CrossFit après le travail me montrent qu’il est possible de performer sur plusieurs aspects dans sa vie. Sur le plan professionnel et scolaire, il me laisse faire mon horaire afin de réussir à avoir des notes à la hauteur de mes attentes. Il réussit à rassembler et motiver son équipe par son humour et son charisme unique. En bref, Guillaume est un boss passionné par son travail avec qui on ne s’ennuie jamais. BRAVO! »

Alina Herasymenko, élève au Centre de formation les Berges, au sujet de son employeur Sajad Ali Hashem, propriétaire du Coq-O-Bec à Laval :

« Il se soucie de mon bien-être.  Il est très drôle et gentil.  Il prend soin de me donner le nombre d’heures dont j’ai besoin par semaine et respecte mon horaire.  Il est très facile de communiquer avec lui et il ne me donne pas d’anxiété.  Il me donne envie de travailler, j’aime aller travailler. Il est vraiment une personne qui a bon cœur. »

Luiza Tipa, élève à l’école secondaire Curé-Antoine-Labelle, au sujet de son employeur, Jack Nagiar, propriétaire du restaurant Uniburger à Sainte-Rose, Laval :

« Personnellement, c’est mon premier travail et étant une adolescente, je ne m’attendais pas à trouver un bon travail dès la première fois. Depuis que j’ai déposé ma candidature il ne m’a pas jugée parce que je n’avais pas d’expérience. Il m’a donné une chance, il m’a appris tout de A à Z ,  il a consacré énormément de temps pour moi et mes collègues alors qu’il aurait juste pu laisser quelqu’un d’autre nous apprendre. Il nous a appris qu’on n’est pas juste une équipe, mais une famille. Bien sûr j’ai plusieurs amis qui ont des emplois et je n’ai jamais entendu qu’ils soient heureux quand ils vont travailler. La plupart du temps ils disent être tannés, ils n’aiment pas leur patron, souvent leurs conditions de travail ne sont pas si bonnes… En tant que jeune pour moi c’était quelque chose d’incompréhensible parce que je ne suis jamais venue au travail comme si j’étais forcée, chaque jour que je vais travailler je me sens comme si j’étais chez moi. Mon travail me permet de faire mes devoirs dans le temps quand il n’y a pas de clients. Je suis en secondaire 4 (l’année la plus importante pour avoir mon diplôme), mon patron comprend bien que l’école c’est dur et il ne veut pas qu’on mette le travail sur le premier plan. Il veut qu’on finisse l’école et lui il préfère qu’on se concentre sur l’école que le travail. Au travail il n’y a pas de concurrence, ni de négativité. De plus, dès que j’arrive de l’école j’ai un repas gratuit. Je remercie vraiment mon boss pour m’avoir offert une telle expérience, je le remercie aussi d’avoir offert un travail à ma sœur, je l’apprécie vraiment. Je voulais qu’elle aussi ait un travail comme le mien. Il n’y a pas longtemps, je réfléchissais à la chance j’ai eue, je n’oublierais jamais mon premier travail, et quand la madame s’est approchée et nous a proposé de parler de notre boss, c’est là que j’ai compris que c’est n’est pas un hasard et que vous devez prendre mon boss Jack comme exemple pour tous les autres. Merci ! »

Lorie Ann Fortin, élève en formation professionnelle à l’École des métiers spécialisés de Laval, au sujet de son employeur, Éric Birgentzlen, propriétaire de la Boutique Chico à Fabreville, Laval :

« Éric est comme un deuxième parent sur lequel on peut compter. Ce n’est pas un patron robot. Il est compréhensif mais surtout humain. Des imprévus, ça arrive à tout le monde et pour lui, la santé passe par-dessus tout. Lorsqu’il nous arrive quelque chose, qu’il soit question de notre santé ou de nos difficultés personnelles, il est là. Il s’informe. Il nous écoute. Un matin je me suis simplement mise à discuter avec lui de mes questionnements et de mes inquiétudes par rapport à l’avenir et il était là pour écouter et même me conseiller.

Non seulement Éric est à l’écoute des besoins de ses employés, mais aussi de leurs suggestions. Il prend en compte nos idées, il nous laisse prendre des initiatives, il nous fait confiance et souligne nos bons coups! Les moins bons? Ce n’est pas grave. Il sait même reconnaître ses erreurs. Pour lui c’est de l’apprentissage. On fera mieux la prochaine fois qu’il nous dit.

Sa confiance ne va pas seulement dans la gestion de son magasin, mais aussi pour celle de nos horaires. Il sait que nous sommes étudiants et le comprend très bien. On peut s’arranger entre employés si on a un empêchement puis l’informer. La flexibilité ce n’est pas un problème!

En gros, mon boss donne une ambiance extraordinaire dans sa boutique. Quand je rentre travailler, je suis heureuse. Chico Fabreville, c’est comme une deuxième famille. Un endroit chaleureux où on se sent chez soi et bien qu’il commence dans ce domaine, je crois fermement que c’est MON boss, Éric, qui mérite le titre de meilleur boss! 😉 »